Maltraitance sur des personnes âgées à Sanremo

Un reportage choc diffusé avant-hier à la télévision italienne, où des mauvais traitements sont infligés à des personnes âgés dans une maison de retraite de Sanremo (Italie). Au total, 7 personnes ont été arrêtés par les forces de polices pour abus de personnes âgées vulnérables. Tout a été filmé grâce aux caméras cachées dissimulées un peu partout dans l'établissement. Coup de poing, de coudes, de pieds, gifles et bousculement, les infirmiers n'avaient aucun respect pour leur patients.

Pour public averti !

et en FRANCE ???????

à votre avis ?

voir la video sur Sanremo












Enquête des infiltrés sur la maltraitance dans les maisons de retraite :

http://www.imineo.com/documentaires/societe/faits-de-societe/infiltres-maison...

En France, 35000 personnes âgées sont maltraitées. Une maltraitance qui a lieu au domicile, mais aussi en maison de retraite. Que se passe-t-il vraiment dans ces établissements? Pour le savoir, une journaliste s'est infiltrée dans une maison de retraite.

Oubliés. Isolés. Insultés. En France, 35 000 personnes âgées seraient maltraitées. Une maltraitance qui a lieu au domicile, mais aussi parfois en maison de retraite. Personnel sous qualifié, absence de soins médicaux, structure sans contrôle, selon Hubert FALCO, l'ancien ministre délégués aux personnes âgées, il y aurait actuellement " plus de 200 000 places indignes en maison de retraite " ! Que se passe-t-il exactement dans ces établissements ?
Pour le savoir, l'une de nos journalistes s'est infiltrée pendant plusieurs semaines dans une maison de retraite. Dans la peau d'une stagiaire aide soignante, équipée d'une micro caméra cachée, elle a pu filmer tout ce qu'elle a vu et entendu. Injures, menaces, erreur médicale, absence de soin, non-respect des règles d'hygiène.... Loin des propos " officiels ", ces images sont souvent bouleversantes.
Durant l'enquête, notre " infiltrée " a également recueilli la parole de nombreux soignants. Cela ne fait aucun doute : ils sont dépassés. Sans moyens, ni formation adéquate, ces professionnels, payés une misère, sont à bout !